Dans toutes les nations du monde, la sécurité est un élément très important et toutes les sociétés investie beaucoup d’argents dans la sécurité pour la protection de son intégrité territoriale
Dans toutes les nations du monde, la sécurité est un élément très important et toutes les sociétés investie beaucoup d’argents dans la sécurité
pour la protection de son intégrité territoriale, de sa souveraineté et de sa population. Depuis 1994, la partie Est de la République Démocratique du Congo est dans l’instabilité suite à l’assassinat de l’ancien président rwandais Juvénal Habyarimana de l’ethnie Hutu. Apres son assassinat, les Hutus étaient
massacrés, certains se sont réfugiés vers l’Ouganda et ceux qui étaient venus en RDC ont créé de mouvement rebelles pour attaquer le Rwanda, ce dernier se sent menacer cherche toujours comment anéantir ce mouvement et a le repousser vers la frontière congolaise.
En effet, l’avènement de l’Alliance des Forces Démocratiques pour la libération du Congo, du mouvement de libération du Congo et du Rassemblement Congolais pour la Démocratie a occasionné une forte infiltration dans les services de sécurités et dans l’organe politique de la République Démocratique du Congo. Le mouvement du 23 mars qui crée la
terreur dans la partie Est de la RDC, tire son nom de l’accord de paix conclu en 2009 entre le gouvernement congolais et un groupe rebelle issu d’une scission de l’armée congolaise qui avait pris le contrôle de la capitale provinciale du Nord-Kivu le 29 novembre 2012, Goma. Le M23 fait partie de centaine de groupes armés qui opèrent dans l’est de la RDC, une région instable ou les conflits font rage depuis des décennies, et où ils s’intensifient, surtout ces derniers mois, le M23 opère en collaboration avec le Rwanda, l’Ouganda et la communauté internationale pour l’exploitation illégale de minerais stratégiques.
Près de 8 000 personnes ont été tuées depuis 2017, selon le baromètre sécuritaire Kivu Security Tracker, qui surveille les conflits et les violations des droits de l’homme dans la région. Les violences ont aussi fait plus de 5,5 millions de personnes déplacées dont 700 000 l’année passée. Cependant ; en observant la situation sécuritaire de la RDC en général et de la partie Est en particulier, les politiciens congolais sont aussi impliqués dans cette affaire et certains occupent de postes stratégiques dans les institutions du pays, comme l’avait confirmé le président dans l’assemblée nationale en pleine plénière, en disant (chers collègues quitter les groupes armées).